en personne, les privilèges, les droits seigneuriaux ; les attestations renouvelées de quelques Evêques, et beaucoup de celles concernant les Seigneuries, les pouvoirs, les chapelles familiales et les sépultures appartenant aux dits seigneurs; l’Arrêt du Conseil Supérieur de Corse et finalement l’arbre généalogique de cette famille (1).

J’aurais voulu que l’impression fut plus correcte ; mais s’agissant de documents très anciens et voulant les produire tels que je les ai trouvés, il n’y a pas lieu de s’étonner qu’il s’y trouve des (erreurs) (2) nombreuses et réitérées (3).


 N.T.D.

(1) L’arbre généalogique est en fait inclus dans l’arrêt du Conseil : ne retenant que les documents absolument authentiques, il part de Vincentello, seigneur d’Istria en 1485, et donne en détail la descendance de deux de ses fils, Jean-françois et Jules auquel se rattachent les demandeurs, c’est-à-dire les 24 membres de la grande famille Colonna d’Istria de Corse qui ont entrepris de faire reconnaître leur noblesse, et parmi eux le père d’Ottavio, l’initiateur de la démarche, apparemment. Mais Paolo-Vincenzo Colonna d’Istria, Marquis de Galliano, cousin germain du père d’Ottavio (Pier-Andrea) et par conséquent l’oncle à la mode de Bretagne de notre Capitaine, avait fait déjà la généalogie de la famille  sur 27 générations, depuis Ugo Colonna jusqu’à lui-même : cette « descendance » occupe les pages 3 à 71 de notre livre; Ottavio a eu, comme il le dit, les documents en communication de son oncle de Savone.

(2) Il faut certainement lire le mot errori à la fin de cette phrase : nous reconstituons en fait le texte du livre, qui a malheureusement souffert : « …si tro-/ veranno molti e reiterati errori ».

(3) Deux pages d’errata ont été ajoutées à la fin du volume; mais elles ne corrigent même pas un dixième des simples fautes d’impression. La plupart du temps il ne s’agit que de fautes mineures, faciles à guérir. Les plus graves erreurs de transcription se trouvent dans les textes latins, et notamment dans la belle lettre du cardinal Asciano Colonna  à Sebastiano d’Ornano (p.71 et 72).

.

 

4