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en possède un exemplaire et il doit en exister plusieurs autres qu'il est inutile d'indiquer.

Pièce XLVIII

Le Préfet au Maire de Nice

                         23 Fructidor an X (IO septembre 1802).

Je vous transmets, citoyen maire, les ampliations de mes arrêtés du 14 de ce mois, ainsi que la copie de l'arrentement de l'ancien évêché. Cette maison étant enfin à ma disposition, rien ne peut plus empêcher que vous fassiez travailler aux répara­tions locatives dont elle peut avoir besoin et à son ameublement.

Veuillez donc vous occuper sur le champ de cet intéressant objet, je vous ai donné l'exemple de cette activité, du zèle et même du sacrifice, j'aime à croire que vous justifierez l'opinion où je suis que vous me seconderez avec la plus grande promptitude.

Arch. Dép. - M. 20.

Pièce XLVIII

Le Préfet au Maire de Nice.

                               23 Fructidor an X (10 septembre 1802).

Je vous transmets, citoyen maire, les ampliations de mes arrêtés du 14 de ce mois, ainsi que la copie de l'arrentement  de l'ancien évêché. Cette maison étant enfin à ma disposition, rien ne peut plus empêcher que vous fassiez travailler aux répara­tions locatives dont elle peut avoir besoin et à son ameublement.

Veuillez donc vous occuper sur le champ de cet intéressant. objet, je vous ai donné l'exemple de cette activité, du zèle et même du sacrifice, j'aime à croire que vous justifierez l'opinion où je suis que vous me seconderez avec la plus grande promptitude.

Arch. Dép. - M. 20.

Pièce XLIX

Le Préfet au Général Eberlé, commandant les troupes du département.

s. d.)

Ensuite de ma lettre d'hier soir que j'ai eu l'honneur de vous adresser, je vous prie, citoyen général, de donner des ordres pour que la garde d'honneur attribuée aux préfets dans les cérémonies publiques soit. à neuf heures devant chez moi.

Je vous invite en même temps de vouloir bien envoyer à la même heure, vingt hommes au Tribunal criminel, quinze au Tribunal spécial, dix au Tribunal civil et autant à la Mairie pour la garde et la marche particulière de ces autorités qui borderont les haies sur le même front dans la marche générale.

Je vous prie d'ajouter ensuite une garde d'honneur pour l'installation épiscopale de cinquante ou cent hommes dont moitié marcheront en avant et le reste en arrière.

Si vous désirez faire prendre les armes au reste de votre gar­nison et que vous vouliez lui faire border les haies du Cour, la garde nationale n'occupera point cette partie.                .

J'ai l'honneur de v. saluer.